Bazir Say
est un artiste polyvalent qui jongle brillamment entre sa passion pour la musique et son engagement en tant que médecin. Sa carrière musicale a débuté en 2010 dans le monde du Hip-hop, et depuis, il n’a cessé de poursuivre son évolution artistique. Rejoindre un groupe de rap en 2011 a marqué le début d’une aventure musicale riche en collaborations et en projets variés jusqu’en 2018. En 2019, Bazir Say a décidé de se lancer en solo, signant avec un label local pour continuer à partager sa musique avec le monde.
Son inspiration, il la puise dans les tranches de vie de tous les jours, que ce soit l’amour, la mort, les défis nationaux ou encore les récits personnels de ses proches. Sa musique est le reflet de ses convictions et de son engagement envers les causes qui lui tiennent à cœur. En dénonçant les problèmes sociaux de son pays, en particulier la guerre à l’est de la RDC, il souhaite sensibiliser et lutter contre la mauvaise gouvernance.
En plus de sa passion pour la musique, Bazir Say voue un amour profond à la médecine. Pour lui, ces deux univers se complètent et se nourrissent mutuellement, ce qui fait de lui un artiste engagé et plein de ressources.
Après Voice2Rep, son désir de faire entendre sa voix sur l’engagement et la responsabilité ne cesse de grandir, et il prévoit de sortir de nouveaux projets musicaux abordant des thèmes variés pour continuer à inspirer et sensibiliser son public
“Après Voice2Rep, J’ai une aspiration, une nouvelle voie que je souhaite explorer dans ma carrière, en m’engageant davantage à aborder les problématiques de mon pays pour favoriser un changement positif.
Je veux évoluer au-delà du divertissement, de la belle musicalité ou des beaux textes, pour m’orienter vers une musique engagée qui sensibilise aux enjeux actuels.
Un grand merci à AL RDC pour cette expérience enrichissante avec une formation parfaite qui a transformé à la fois mon identité artistique et personnelle. J’ai acquis de précieuses leçons, notamment sur le professionnalisme, le travail et l’intégrité en RDC.”
– Bazir Say